Grande, l’Hypothémuse
 A le nez aquilin
 De certaines statues
 Sises au cœur des jardins
Elle a beau être nue
 Son profil sibyllin
 Tel un philtre, une ruse
 N’apparaît pas humain
Y dort une équation
 A plusieurs inconnues
 Dont la résolution
 A jamais reste tue
Un triangle amoureux
 Une hybride vertu
 Que d’aucun sous ces cieux
 N’a percé ou perçu
Porte ô Hypothémuse
 En ton corps souverain
 Ce concorde sans chute
 Que ta chute de reins
Et garde Hypothémuse
 Ton mystère divin
 Qui à perte de vue
 Nous enchante ô combien !
(15 09 2021)

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